Traduit de l’anglais par Jean-Pierre Aoustin. Lu dans le cadre du club de lecture de la médiathèque de Dinard.

20 Thoughts on “Quand tout est déjà arrivé – Julian BARNES

  1. Voilà ce Barnes!
    Je ne l’ai pas lu, dis donc. Quand je lis un roman traduit, j’essaie de capter le titre d’origine (si c’est vraiment différent – et parfois on se demande pourquoi), je le note dans mon billet

  2. Je suis d’accord avec toi sur la traduction des titres ! On pouvait très bien laisser celui-ci tel quel !

  3. je ne connais pas celui la
    un auteur que j’apprécie de façon générale, j’attends de mettre la mains sur le dernier qu’il a publié sur l’art

  4. Un auteur que j’apprécie beaucoup, mais curieusement, je n’ai presque rien lu de lui.

  5. Je crois que je n’ai jamais lu Julian Barnes. Une erreur qu’il va me falloir réparer un jour ou l’autre.

  6. Comme Jerome, je n’ai jamais lu Julian Barnes.

  7. Je n’ai pas lu Julian Barnes depuis loooongtemps! Mais tu m’intrigues.

  8. A mon tour je viens faire un tour sur votre blog qui est très riche. J’apprécie particulièrement la variété et l’éclectisme de vos lectures qui sortent des sentiers battus et qui font découvrir des auteurs et des livres dont on ne parle pas forcément partout.

    • je vois plusieurs commentaires de la même personne sur le même livre, je dois approuver le commentaire avant qu’il apparaisse car j’ai beaucoup de faux commentaires. Mais le votre en est un vrai, merci

  9. A mon tour je viens faire un tour sur votre blog. J’apprécie particulièrement l’éclectisme de vos lectures. Des livres et des éditions qui sortent souvent des sentiers battus.

  10. A mon tour je viens faire un tour sur votre blog. J’apprécie particulièrement l’éclectisme de vos lectures. Des livres et des éditions qui sortent souvent des sentiers battus.

  11. Jamais lu ce livre ni cette auteur…
    Et je te rejoins pour la question des traductions.

    • Nos partageons donc ce petit agacement. Julian Barnes est un auteur que la blogosphère apprecie tu auras donc l’occasion de’n entendre parler.

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