Lu dans le cadre du club de lecture de la médiathèque de Dinard.
Lu en une nuit et sans aucune passion. Ce pauvre Benjamin vit dans une famille suisse très riche qui a les apparences d’une famille très heureuse. Malheureusement pour lui, elle n’a que ça, les apparences. Sa vie est à jamais bouleversée par la disparition de sa sœur Summer, et vingt cinq ans plus tard, il est anéanti par ce souvenir qu’il croyait avoir maîtrisé. Il lui faudra un courage incroyable pour remonter dans des souvenirs et comprendre peu à peu ce qui était évident pour son entourage.
L’intérêt du roman vient de ce que nous partageons les efforts de cet homme dont le cerveau est embrumé par les mensonges de sa famille. Mais je n’ai pas été intéressée par cette lecture, je me rendais compte que j’étais indifférente à l’histoire et pourtant Monica Sabolo sait très bien la raconter, elle ne tranche jamais entre la mort ou la disparition de Sumer et ceci grâce à son narrateur, celui qui était là, mais qui est aveuglé par le poids de sa famille.
Citation
Voici la clé de l’histoire
– Et puis tes parents…
– Quoi, mes parents ? J’avais été surpris par le son d e ma voix, j’avais peut-être crié. Il fixait le mur, comme s’il regardait les images qui défilaient derrière mon dos.
– On finit toujours par retrouve les gens, tu sais. Ils laissent une trace quelque part, ils passent un coup de téléphone, se font repérer dans un supermarché. J’avais envie d e vomir. Il avait des traces sombres de transpiration sous les bras ; alors évidemment, s’il n’y a aucun indice aucun mouvement…
L’inspecteur a soupiré, comme si cette idée était trop déplaisante. Il avait brusquement baissé les yeux sur moi.
– quoi qu’il en soit, les gens ne disparaissent pas comme ça. Il y a toujours une explication. Et elle est souvent extrêmement simple. A portée de main.
A la bibli, emprunté je crois, mais je n’en ferai pas une priorité, finalement.
ce n’est pas moi qui te pousserai à le lire rapidement.
Une auteure qui m’a déjà laissé de marbre une fois, on ne m’y reprendra pas.
bon là je comprends complètement une fois déçu on s eméfie un peu plus.
Les avis sont partagés sur ce roman ; à l’occasion, je tenterai à la bibliothèque, mais sans urgence.
voilà sans urgence….
J’ai tourné autour de ce bouquin pendant des semaines mais finalement j’ai dans l’idée qu’il n’est pas vraiment pour moi.
ce n’est pas un mauvais roman non plus. Il faut parfois passer outre des avis négatifs.
Voui, bah, comment dire, pas très envie de le lire…
Ah oui, je vois que tu as été déçue. Je l’ai beaucoup aimé pour ma part.
Au club il y avait quelques lectrices enthousiastes
Comme toi j’ai été un peu détachée par rapport à cette histoire !
le mot est juste « détachée » en revanche la façon de décrire la psychologie de quelqu’un qui ne veut pas savoir est très juste.
Tellement vu sur les blogs que cela a définitivement freiné mes envies et j’ai l’impression que je n’ai rien à regretter
je viens de lire le dernier roman de Michel Bernard que j’ai beaucoup aimé et pourtant sur un personnage qui m’agace mais quel talent que cet écrivain
Sur qui? J’aime beaucoup cet écrivain,Michel Bernard, mais Monica Sablons beaucoup moins…
chut !!! mais c’est une femme héroïne nationale
Je n’ai pas pu attendre j’ai cherché sur internet… et je sais !!!
J’en ai lu quelques pages je ne sais plus où… et ça ne m’a pas donné envie de poursuivre. (mais je suis sûre que d’autres doivent adorer !)
Oui , visiblement il a bien plu.
J’avais jusqu’à présent entendu beaucoup de bien de ce roman.
Il y a des aspects intéressants mais je n’ai pas accroché.
mais c’est mauvaise pioche sur mauvaise pioche en ce moment! Je te souhaite de prochaines jolies lectures :)
Mais pour ce roman c’était une lecture rapide.
Commencé. Je n’ai pas eu envie d’aller au-delà des 50 pages…
Moi je l’ai terminé mais sans passion.
C’est drôle comme les impressions sur un roman peuvent être totalement opposées. A l’inverse, j’ai été totalement emportée par cette lecture et j’ai trouvé le style très beau… au point d’en faire un de mes coups de cœur de l’année ! Comme quoi, les goûts en matière de roman… Mais celui-ci semble peu supporter les demi-mesures !
ben moi justement je suis dans la demi mesure, je n’ai pas été passionnée par u roman qui se lit facilement.
Je l’ai laissé de côté, une déception aussi pour une amie dont je suis les conseils de près !
Comme quoi les déceptions se suivent !