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Je me suis accrochée comme une désespérée à ce livre ; c’était pour moi, il devait me plaire. Gérard Oberlé invente les mémoires d’un érudit du 16e siècle français qui a connu Montaigne, Ronsard et tous les poètes de la pléiade. Son style imite fort bien le style de l’époque et la vie de tous ces gens est pour le moins gaillarde !

Mais, je m’ennuie terriblement, et pour éviter de le parcourir en diagonal, je vais le refermer sans l’avoir terminé. J’espère qu’une membre de notre club de lecture saura le défendre à notre prochaine réunion, car l’auteur a effectué un travail vraiment sérieux, même s’il ne m’a pas touchée.

Citation

 Le vin délie la langue et rend l’esprit prompt et hardi. Une ancienne sentence grecque dit qu’il est le grand cheval des poètes.

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