Édition Folio . Traduit de l’anglais par Anouk Neuhoff
C’est la dernière fois que je lis cette auteure . Cette lecture a été un véritable pensum, comme souvent dans ces cas là, j’ai parcouru les pages quand je m’ennuyais trop avec Clare qui cherche à rencontrer l’homme de sa vie. Elle fait une pause dans son couple avec Jonathan qui a le défaut d’être trop prévenant, et va à la rencontre de Joshua . Tout cela sous le regard d’une vieille femme très originale qui est le seul personnage qui parfois m’a sortie de mon ennuie. C’est peut-être une mauvais pioche mais déjà je n’avais pas été conquise par « Les Filles de Hallows Farm », mais au moins je pouvais m’intéresser au récit de la guerre et là ? Des considérations sur les difficultés de trouver l’homme idéal, comme si cela existait, je vais me dépêcher d’oublier ce titre et cette auteure.
Citations
Le début humour si british
Mon premier mari, Richard Storm, fut enterré par une torride journée d’août dans les faubourgs de Londres. Après les obsèques, une douzaine d’entre nous, relation et amis, repartir dans un cortège de grosses voitures noires dont les sièges avez été conçus pour obliger les passagers à se tenir droit en gage de respect. Le trajet se déroula dans cette position inconfortable, personne ne soufflant mot.
La fin d’un amour
Mais au début il était gentil et pas trop exigeant. Je crois vraiment que je l’aimais quand je l’ai épousé. Mais ce que je ne comprends pas, c’est comment, un jour, on peut aimer quelqu’un en toute quiétude, et puis, le lendemain, comment des détails qui ne vous dérangeaient pas du tout jusque-là vous rendent carrément dingue. Je me suis mise à détester des choses auxquelles il ne pouvait rien. La forme de sa nuque, sa respiration sifflante le matin à cause de son asthme. Quand j’ai fini par déclarer qu’il fallait qu’un de nous deux s’en aille, il a abandonné la partie sans se battre une seule seconde. J’aurais pu le tuer tant il était raisonnable.
Je l’ai lu il y a longtemps et à vrai dire je ne m’en souviens pas. Mais il ne me semble pas que je m’étais ennuyée.
Une déception pour moi.
Aaaaaaaah, tu sais, j’ai lu avec plaisir plusieurs titres de cet auteur, mais cette Valse hésitation, je l’ai lue sans plaisir et j’ai vite oublié! comme quoi! ^_^
Tu aurais dû faire un billet tu m’aurais évité une déception.
on ne va pas hésiter à passer notre chemin, nous !
passe passe tu peux selon moi!
Un seul coquillage, c’est clair …. Je n’ai lu de cette auteure que Les filles de Hallows farm, pas mal, mais sans enthousiasme non plus.
L’ennui total pour moi.