C’est amusant d’écrire à propos de ce livre un 8 mars, journée de la femme. Ce roman raconte la vie de trois jeunes filles de la campagne chinoise qui viennent travailler en ville. Je n’imaginais pas, qu’aujourd’hui encore, il y ait un tel décalage entre l’homme et la femme chinoise à la campagne. On appelle les filles, des baguettes pour montrer qu’elles ne valent rien à côté des garçons, les poutres. Trois filles, six, cinq et trois ainsi prénommées par leur père qui ne les juge même pas digne du mal qu’il se serait donné à leur chercher un autre nom que celui de l’ordre dans lequel elles sont venues au monde, trois filles, donc, vont faire leur place à Nankin après avoir fui leur village. Toutes les trois vont réussir à leur manière et finalement prouver à leur père que les baguettes valent bien les poutres. Le sujet est intéressant, le roman beaucoup moins . L’écriture est très simple , le récit plein de dialogues souvent inutiles et surtout tout le monde est si gentil avec ces trois filles : elles ne rencontrent que des gens qui leur veulent du bien. J’espère que c’est comme ça en Chine , j’ai un peu de mal à le croire. J’aurais surtout aimé qu’elles prennent plaisir à devenir des femmes libres mais finalement leur seul but c’est de venir offrir de l’argent à leur père et une belle veste rouge à leur mère….
Cette blague m’a fait sourire
C’est l’histoire d’un étudiant chinois qui apprend l’anglais et qui, sans le faire exprès bouscule un Anglais dans la rue. Aussitôt il s’excuse poliment en anglais : « I’m sorry. » Sur quoi l’Anglais répond : « I’m sorry too. » Le Chinois désireux de se montre aussi poli que son interlocuteur renchérit alors : » I am sorry three. » L’Anglais perplexe poursuit : What are you sorry for ? » Le chinois décidé à ne pas perdre la face en paraissant moins courtois que cet étranger, s’empresse à son tour de répondre : » I am sorry five. »
On en parle
Plus sévère que moi : link