Les éditions Perrin m’ont offert ce livre grâce à l’opération Masse Critique de Babelio du mois de novembre 2009.J’entends souvent Nicolas Baverez à la radio, je le comprends, je le trouve clair et précis et non dépourvu d’humour. Je me suis donc portée candidate, pour faire une critique de son livre, avec cette idée en tête : est-ce qu’une réfractaire à la compréhension des phénomènes économiques, comme je le suis, peut mieux comprendre la crise que nous venons de vivre, grâce au livre de Nicolas Baverez.
Citations
Voici une jolie phrase
L’économie mondiale n’a tenu qu’au fil de soie de la politique économique.
Une des phrases que je ne comprends pas
L’innovation financière s’est déployée au croisement de la titrisation …
Une image de la bourse et des banques que j’ai découverte dans ce livre
Loin d’être rationnels et guidés par la juste évaluation de la valeur des actifs, les marchés cotent au premier chef les opinions et les pulsions collectives, encourageant les comportements moutonniers des épargnants et des investisseurs à la hausse comme à la baisse. Surtout, les banques, largement recapitalisées et restructurées, bénéficiant d’une courbe des taux favorables, fortes de la garantie d’être sauvées par le contribuable, ont renoué avec leur stratégie à risque.
Une phrase où j’ai trouvé un peu d’humour
La banque demeure la seule activité où il faut passer par la le casino et jouer pour avoir le droit d’accéder à la boulangerie
Et finalement j’ai appris que « calamiteux » est l’adjectif qui décrit tout ce qui est mauvais pour l’économie