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Un pensum ! Voilà le mot qui me vient spontanément à la bouche. Le sujet pourrait, peut-être, avoir de l’intérêt : la vie des ouvriers intérimaires travaillant dans les centrales atomiques. L’écrivaine a choisi un style dépouillé et sobre, mais plus ennuyeux ce n’est pas possible. Trois fois, j’ai commencé, trois fois, j’ai abandonné pour le terminer en le parcourant pour m’en débarrasser le plus vite possible. Je me demande si quelqu’un va être plus tenace que moi dans le club !

Mercredi 24 mars, La Centrale, Prix France-Culture et Télérama 2010. Je viens d’écouter l’émission de France Culture, et pendant vingt minutes, j’ai entendu le plus grand bien de La Centrale. Le jury soulignait la qualité du style d’ Elisabeth Filhol et parlait de la naissance d’une véritable écrivaine.

Je suis complètement passée à côté de ce livre, pourtant je me suis donné beaucoup de mal. J’ai encore en mémoire la sensation d’ennui contre laquelle j’ai dû lutter pour le finir. Je ne sais pas si ce que je viens d’entendre me fera relire ce livre.

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