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3L’avantage de prendre une année de plus ce n’est pas d’en avoir une de moins à vivre, évidemment, mais c’est de recevoir des livres qui ont plu à vos proches. Je ne connaissais pas cet auteur, je suis ravie de l’avoir découvert. Je l’ai lu dans le train Saint Malo-Paris, et le plus gros reproche que je puisse faire, c’est qu’il ne m’a permis d’aller que jusqu’à Vitré.

Problème pour vous présenter ce roman sans le « divulgacher » car tout est dans le suspens, j’imagine vos cris d’horreur si je vous raconte un tant soit peu cette histoire. Le début : un certain William, promet à son meilleur ami qui va mourir de retrouver sa fille Mathilde, celle-ci a été en hôpital psychiatrique et a eu un enfant qu’elle n’a plus le droit de voir. J’ai donc pensé à un roman sur la misère sociale et sur le dévouement d’un homme fidèle à ses promesses. J’ai eu tout faux et je suis partie dans l’imaginaire de cet écrivain grinçant et irrespectueux en espérant que l’histoire se termine bien.

Voilà, je n’ai rien dévoilé, je vais utiliser les procédés de Krol : lisez-le, puisque je n’ai pas pu l’abandonner, si vous avez deux heures à passer dans les transports, vous oublierez tout.

Citations

Un indice donné au début du roman

Le nom du syndicat m’est revenu à l’esprit. J’avais aperçu une affiche dans le bureau du personnel lors de mon renvoi, pour faute grave et escroquerie, des établissements Vernerey

Une mère qui a du mal avec le principe de réalité

 C’est complètement idiot de voler une paire de lunettes de soleil. Imagine ! Mathilde ! Tu veux te retrouver au poste de police ? En train d’expliquer ton intention de revoir ton fils contre la décision du juge ! ? Mais Mathilde ne voyait pas le rapport entre ces lunettes et son fils.