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Un titre très long et qui en dit beaucoup sur un tout petit roman d’une centaine de pages. Une fable philosophique( ?) au sujet d’une femme chinoise qui aurait aimé avoir 10 enfants plutôt qu’un comme la Chine l’impose à tous ses citoyens. J’ai pris ce livre à la bibliothèque, et j’ai passé une soirée en sa compagnie en me demandant pourquoi l’auteur l’avait écrit.

On peut le prendre comme une aimable réflexion sur le trésor que représente le devenir d’un enfant, on peut y lire aussi la violence faite aux Chinois depuis la révolution communiste et son tissus d’horreurs et enfin l’adaptation sans nuance de ce grand pays à la modernité. Mais non, il faut y voir une illustration de la pensée de Confucius , c’est sans doute pour cela qu’à mes oreilles ce livre sonnait aussi faux : j’ai toujours été peu convaincue par les proverbes chinois qui me font rire plus que réfléchir. Bref un très petit livre qui ne pas convaincue sauf quelques moments comme la description de l’usine de jouets.

Citations

Les enfants trop doués

A l’époque, monsieur, j’ignorais que les élus ne réussissent que l’extraordinaire et loupent l’ordinaire. Le don, c’est inéquitable, autant pour ceux qui le reçoivent que pour ceux qui en manquent.

 Une idée qui m’a plu

C’est l’imagination qui singularise, l’imagination qui arrache a la banalité, à la répétition, à l’uniformité.

Proverbe chinois

L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la tient.

Et une phrase qui pourrait être un proverbe

La vérité, c’est juste le mensonge qui vous plaît le plus.

On en parle

Quelqu’un qui a beaucoup aimé le cottage de Myrtille.

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