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Un titre très long et qui en dit beaucoup sur un tout petit roman d’une centaine de pages. Une fable philosophique( ?) au sujet d’une femme chinoise qui aurait aimé avoir 10 enfants plutôt qu’un comme la Chine l’impose à tous ses citoyens. J’ai pris ce livre à la bibliothèque, et j’ai passé une soirée en sa compagnie en me demandant pourquoi l’auteur l’avait écrit.

On peut le prendre comme une aimable réflexion sur le trésor que représente le devenir d’un enfant, on peut y lire aussi la violence faite aux Chinois depuis la révolution communiste et son tissus d’horreurs et enfin l’adaptation sans nuance de ce grand pays à la modernité. Mais non, il faut y voir une illustration de la pensée de Confucius , c’est sans doute pour cela qu’à mes oreilles ce livre sonnait aussi faux : j’ai toujours été peu convaincue par les proverbes chinois qui me font rire plus que réfléchir. Bref un très petit livre qui ne pas convaincue sauf quelques moments comme la description de l’usine de jouets.

Citations

Les enfants trop doués

A l’époque, monsieur, j’ignorais que les élus ne réussissent que l’extraordinaire et loupent l’ordinaire. Le don, c’est inéquitable, autant pour ceux qui le reçoivent que pour ceux qui en manquent.

 Une idée qui m’a plu

C’est l’imagination qui singularise, l’imagination qui arrache a la banalité, à la répétition, à l’uniformité.

Proverbe chinois

L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la tient.

Et une phrase qui pourrait être un proverbe

La vérité, c’est juste le mensonge qui vous plaît le plus.

On en parle

Quelqu’un qui a beaucoup aimé le cottage de Myrtille.

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Traduit du norvégien par Hélène Hervieu et Eva Sauvegrain.

2
Si ce livre n’avait pas été au programme du club de lecture, donc choisi par ma bibliothécaire préférée, j’aurais abandonné à la page 50. Je n’en pouvais plus d’imaginer cette jeune femme boire des bières de plus en plus vite, en se dépêchant pour faire la place au gin, au cognac au whisky…

Tant d’alcool pour faire comprendre qu’elle va mal très mal … du coup je suis allée faire un petit tour sur Babélio et j’ai vu que d’autres lectrices avaient aimé cette histoire alors je me suis accrochée, bon c’est sûr c’est beaucoup, beaucoup trop long et trop alcoolisé. Mais il y a quelques bonnes remarques sur notre société des loisirs.

Les voyages, par exemple, et les touristes qui ne voient les paysages qu’ à travers leur appareil photo numérique sans oublier cette si noble cause : la défense des animaux sauvages. C’est un peu étrange de trouver des remarques judicieuses sur notre société dans un roman qui m’intéresse aussi peu.

La deuxième partie du livre, là où les explications sont données au mal être de Béa, va un peu plus vite. Pas de chance pour moi ! le roman prend alors l’allure d’un polar psychologique, et je n’aime pas trop les polars.

Citations

 Je me sens toujours mal à l’aise avec les Japonais et leurs sourires automatiques qui semblent venir de je ne sais où, sans raison apparente . Comment font-ils quand ils sont vraiment heureux ?

 

Des gens qui en avaient assez de monter à dos de chameau en Egypte, de se promener en gondole à Venise , ou d’écouter avec un mélange de peur et de jubilation , les sirènes de police devant Manhattan . Pour leurs amis un voyage comme ça devait être follement exotique et valoir largement son prix exorbitant

 

Tout penaud Frikk regardait le phoque sur la plaque de glace, incapable de profiter du spectacle dans la mesure où il ne pouvait pas le photographier

 

Tant d’hommes ont été estampillés courageux, uniquement parce que leur intelligence était rudimentaire.

 

 Elle avait envie de rencontrer un ours blanc, mais il fallait qu’il soit inoffensif. Rien ne devait être dangereux, seulement extraordinaire, exotique et surtout écologiquement correct….

On en parle

L’as tu lu 

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Traduit de l’américain par Sophie Aslanides.

2
Coup de cœur de mon club de lecture. Tous les blogs vous le diront ce livre commence par le pire cauchemar de tous les parents : perdre des yeux quelques secondes un enfant et ne plus le retrouver. C’est pour cela que je l’ai lu et le début m’a beaucoup intéressée et puis, le roman s’enlise dans une enquête à laquelle je n’ai absolument pas cru.

Ensuite, contrairement aux lectrices du club et beaucoup de blogueuses qui ont adoré ce livre, je me suis beaucoup ennuyée à la lecture de ce roman que j’ai fini en diagonale. Tout m’a semblé convenu et tellement prévisible ! Quant-aux considérations pseudo philosophiques sur la mémoire, j’ai trouvé cela très, très lourd !

Mais si, comme moi, le sujet vous tente lisez la critique dans le blog « quartier livre  » cela vous convaincra peut-être.

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Livre reçu dans la cadre de Masse critique de Babelio. Mon avis est très négatif et sans doute trop sévère, je n’apprécie que très peu la littérature policière, j’aurais dû me méfier. Quand des romans policiers me plaisent, ils sont en général excellents. Pour celui-là, je pense qu’il s’agit d’un honnête polar qui, personnellement, m’a beaucoup agacée.

Sans doute, pour donner un cadre particulier et une ambiance inoubliable, cela se passe sous les purges staliniennes, pour la violence c’est garanti ! J’avais été surprise et j’avais apprécié « Enfant 44 » de Tom Rob Smith. Voilà, un nouveau genre est né : le policier vaguement honnête du temps de Staline, à quand celui sous Pol-Pot ! ! !

Sinon, on a, à peu près, tous les ingrédients, les coups, le sang , le sadisme, les larmes, les traitres, avec une petite dose de religiosité. Comme c’est en Russie, c’est plus énorme plus violent, plus désespéré mais guère plus passionnant. L’enquête autour d’une icône volée est très compliquée et permet de décrire ce qui reste des croyances religieuses en Union Soviétique et la corruption des dirigeants, tout cela sans grand fondement historique (du moins si je me réfère à mes lectures sur le sujet).

J’ai lu attentivement ce roman, car j’avais accepté d’en parler sur mon blog, je vais l’oublier très vite.

 On en parle

Miss Alfie a l’air d’aimer.

2
Surtout ouvrez le lien à la fin de mon texte : quelqu’un a beaucoup aimé ce roman que je n’ai pas apprécié. Mes lectures sont guidées par le club de lecture de ma bibliothèque, en général, je vais de bonne surprise en bonnes surprise. Ce roman me tombe des mains, c’est pour cela que je trouve qu’il faut un autre avis que le mien. Je me suis accordé le droit que Daniel Pennac a donné à tous les lecteurs : ne pas finir un livre lorsqu’on s’ennuie.

Je l’ai survolé à partir de la page 100. Pourtant l’histoire promettait de m’intéresser. Trois jeunes sœurs orphelines résistent au conseil de famille et décident de se débrouiller pour gagner leur vie, plutôt que vivre avec la tante Rosie qui ne leur veut pas du bien.

Je n’arrive pas à m’intéresser aux personnages, ils apparaissent comme une caricature d’eux-mêmes. C’est visiblement le style de cet écrivain, il ne veut pas révéler la profondeur des personnages ni expliquer le pourquoi de ce qui leur arrive. À force de mettre de la distance par tout, je me suis sentie peu à peu étrangère, aux déboires et difficultés de ces trois jeunes femmes, et la fin, l’intérêt de la troisième pour un pervers assassin a fini de me décourager.

J’abandonne.

On en parle

Et en bien : sur la route de Jostein.

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Traduit de l’anglais américain par Éric Chédaille, cadeau des éditions Christian Bourgeois.

2
Tenir un blog, toutes celles qui le font savent à quel point c’est un plaisir. Essentiellement, celui de pouvoir dire pourquoi on apprécie tel ou tel livre. Comme le monde des blogs est très vaste, nos avis se croisent et nous permettent d’affiner nos impressions. Il est un autre plaisir, celui de recevoir en cadeau un livre pour en faire la chronique. Les choses alors se compliquent ; a-t-on le droit de critiquer un cadeau ? Je dois d’abord dire merci aux éditions « Christian Bourgeois » de m’avoir envoyé ce roman. Et je précise bien que je suis lectrice, non pas critique littéraire. Toutes ces précautions prises, je dois dire que je n’ai qu’à moitié apprécié ce roman.

Deux thèmes se croisent, un amour pour un trop beau pilote qui s’avère être un homme à femmes, et une épidémie mystérieuse qui coupe peu à peu l’Amérique des autres pays et des bases de sa propre civilisation.

Si vous voulez connaître toutes les peurs des Américains ce roman vous éclairera

  • Peur d’être rejeté par le reste du monde.
  • Peur de ne pas être aimé.
  • Peur de ne plus avoir le confort du monde moderne.
  • Peur de la maladie.
  • Peur de la pollution.
  • Peur d’autrui…

Le thème du retour au monde primitif a été maintes fois traité, il n’y a rien d’original dans ce roman. Par contre, la découverte de la vraie personnalité de son bel amour aurait pu être un bon ressort si, dès le début, on ne devinait pas que ce bellâtre n’allait pas tenir ses promesses. D’abord, dans un roman américain d’aujourd’hui, écrit par une femme les hommes ne peuvent pas avoir un beau rôle, ici c’est presqu’une caricature : ils meurent, ils disparaissent, ils fuient !

Ce qui m’a le plus intéressée, c’est la transformation de l’adolescente révoltée stupide en une vraie personnalité. Ce n’était peut-être pas la peine d’imaginer une épidémie de peste pour ce résultat. Je n’ai pas trouvé de blogs parlant de ce livre mais quelques sites, ils vantent l’écriture de cette écrivaine, comme je ne l’ai pas lu en anglais c’est difficile de juger. J’ai trouvé que ce roman était très lent, plat, sans montée réelle vers l’angoisse de la mort et que ce défaut n’était pas contrebalancé par la peinture, critique ou positive du quotidien d’une famille américaine.

C’est le principal reproche que je ferai : « En un monde parfait » décrit la vie de tous les jours à travers une passion puis d’une rupture amoureuse, autour de ces personnages rôde une terrible épidémie, mais on n’a jamais peur, tout finit par se solutionner. Il y a bien quelques morts, surtout des hommes, sans pour autant de montée dans l’angoisse. J’espère que d’autres lectrices vont me contredire. Bonne chance à ce roman !

Citations

D’une demoiselle d’honneur elle possédait les jambes galbées, la taille de guêpe, les cheveux blonds retombant sur les épaules… Elle avait porté du satin vert et de la mousseline jaune et quelque chose de rose et d’empesé…

 

Certains des cyclistes arboraient le désormais familier drapeau américain frappé d’un gros X noir.

 

À présent, tout le monde haïssait, semblait-il les Etats-Unis. Ce pays qui avait, durant des dizaines d’années, saccagé l’environnement avec ses grosses voitures et ses interventions armées, voulait maintenant étendre son épidémie au reste de la planète.

Traduit de l’Italien Par Dominique Vittoz.

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Livre étrange, je l’ai lu attentivement et sans un réel plaisir, j’attendais toujours qu’il se passe quelque chose d’autre. Dès le début la trame est donnée et tout se déroule sans surprise. Le missionnaire ira au bout de sa folie et construira un sanctuaire destiné au culte de la vierge, rien ne peut l’arrêter, il se prend pour un saint et les bigotes du village viennent de plus en plus nombreuses à ses prêches enflammés. Les sœurs essaient par des traitements abominables de garder les « chérubins » dans la pureté chrétienne. Et en bas dans la vallée, dans un quartier appelé le chantier, des malfrats gagnent leur vie en faisant des actions malhonnêtes, comme mettre le feu à des entreprises pour éviter les ennuis avec le fisc.

Pourquoi n’ai-je pas apprécié davantage ce roman qui a reçu le prix Médicis étranger 2009 ? Sans doute parce que je n’ai pas réussi à comprendre le ton de l’auteur.(J’ai essayé d’en donner un aperçu dans la deuxième citation) On ne sait pas trop si c’est une charge contre les bonnes œuvres de l’église, ou contre la société italienne qui contraint des enfants à devenir des bandits. Les deux sans doute, l’auteur reste absent et ne juge personne, et le lecteur doit se faire sa propre opinion. Il m’a manqué la connaissance de l’Italie des années 60 savoir si ce que je lisais avait un fondement sociologique ou était une pure invention romanesque.

La seule chose qui m’a complètement saisi c’est le malheur des enfants abandonnés à la rue par des parents complètement dépassés par la misère mais qui est encore plus terrible quand ils sont livrés aux mains des bonnes sœurs sadiques.

Citations

S’il n’avait pas nourri une haine cordiale pour Dieu qui était du côté de ce curé, il serait sûrement entré un jour où l’autre dans l’église du Buon Cammino et aurait prié pour que le vieil Omero ne meure jamais.

 

Ses paroles vibrèrent dans ce grésillement – Le pasteur affamé dévora ses propres ouailles -, comme s’il apparaissait en effet dans une vision – mais fut ensuite dévorer par ses propres chiens -, secouèrent les plantes, effrayèrent les papillons et se diluèrent à travers la campagne comme des lueurs incompréhensibles qui pourtant éveillent l’amour.

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Et zut ! J’avais tellement apprécié Les pieds dans l’eau que j’ai même acheté celui-ci sans attendre mon tour de lecture. Mal m’en a pris. J’ai pesté tout le long de cette fable qui se veut drôle et l’est parfois. L’auteur n’évite aucun cliché lu dix fois sur notre époque :

Le football est sans doute l’un des derniers terrains où s’exprime un relent de nationalisme.

Le ressort du livre est vaguement drôle : de Gaulle revient au pouvoir pour sauver une dernière fois la France. Un de Gaulle qui aurait évolué sur le plan des mœurs (il accepte l’homosexualité), mais pas des valeurs. Cette distance entre les années 50 et notre société permet de voir que la France a beaucoup changé, pas seulement en bien. Benoît Duteurtre a du talent pour saisir les travers de notre époque en particulier l’uniformisation de toutes les sociétés de la planète et la destruction de l’environnement. La description des abords des banlieues, les ronds points interdits aux piétons et décorés par des artistes « surprenants » m’a beaucoup plu. Il parle d’un héron aux pattes rouillées, je connais un pêcheur métallique et un paysage marin reconstitué qui vaut le détour ! À quand la visite guidée des ronds-points ?

Si j’avais lu le début je ne l’aurais sûrement pas acheté : la défense de l’œuf mayonnaise, Beurk ! Pourtant je suis d’accord avec lui, à force de tout règlementer, les directives européennes semblent exister pour empêcher les différences entre les pays. La mayonnaise faite par un patron de bistrot n’aurait plus le droit d’exister. Je suppose que c’est vrai, mais même cet exemple me semble bizarre, car le cafetier dit qu’il n’a pas le droit de la garder. Et alors là surprise ! Je ne savais qu’une mayonnaise pouvait se garder plus d’une journée.

J’ai carrément trouvé stupide le passage où on montre des jeunes parlant comme leur texto ! C’est à peine amusant. Ce n’est pas parce qu’ils écrivent comme ça sur leur téléphone portable qu’ils s’expriment de cette façon. Finalement, j’ai pesté mais je l’ai lu jusqu’au bout et maintenant je cherche quelqu’un à qui le donner∞ Quelqu’un qui pense que tout était mieux avant et que la France fout le camp.

Citations

D’un côté ? Paris n’avait jamais été aussi radieux ; de l’autre, cette mise en scène de la beauté, arpentée par une foule en casquettes Nike, entretenait des rapports toujours plus lointains avec la ville radieuse qui m’avait fait rêver.

 

Il faut voir ce qu’est aux États-Unis, un morceau de brie congelé agrémenté de cacahuètes.

 

J’aurais dû me le rappeler : nos maladies ennuient ceux qui ne souffrent pas.

On en parle

En bien… évidemment : link (comme quoi je suis les conseils qu’on me donne !).

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Je pense que c’est mon dernier essai avec « Masse critique de Babelio ». C’est ma troisième participation et pour l’instant je n’ai rien lu qui m’ait vraiment intéressé. Mais là c’est le pire… C’est d’un ennui mortel ce livre ! Je passe complètement à côté du grand auteur islandais mais tant pis, je ne vais pas jusqu’au bout, je rate «  un requiem à la force tellurique. Il enfle et se déchire comme un long poème venu des ténèbres, » dixit Télérama, je m’ennuie trop. Et j’ai hâte de lire des critiques dans le monde des blogs. Il fait froid, la mer est terrible, on meurt tout le temps. Les personnages ne pensent qu’à survivre et certains à lire, bien mal leur en prend car, alors, ils oublient qu’il fait froid et ils meurent ! !

Tout le monde n’a pas le talent d’Hemingway pour nous faire partager la dureté de la mer et de la pêche. Le pensum était trop fort, je suis désolée pour Babelio mais là, ,j’atteins mes limites. Bon courage aux futurs lecteurs. Je me demande aussi s’il n’y a pas un problème de traduction, que veut dire par exemple.

« Juvéniles jambes, feu qui flambe ».

J’ai relevé quelques citations car on sent que ce roman se veut poétique et profond, et parfois ça marche.

Citations

Ainsi va-t-il constamment dans la vie, ceux qui ne sont pas assez forts sont obligés de nettoyer la merde des autres.Il avance d’un pas martelé, assuré dans la neige et dans la boue, les pieds au sec et les bottes en caoutchouc sont certainement la meilleure chose qu’ait engendrée la grande puissance américaine

La mer vient inonder les rêves de ceux qui sommeillent au large, leur conscience s’emplit de poissons et de camarades qui les saluent tristement avec des nageoires en guise de main.

Il est sain pour un être humain de se tenir, seul, au creux de la nuit, il s’unit alors au silence et ressent comme une connivence pourtant susceptible de se changer instantanément en une douloureuse solitude.

On en parle

En bien dans un blog que j’aime beaucoup … donc à vous de voir : link.

http://leslivresdegeorgesandetmoi.files.wordpress.com/2010/02/lagier-pierre-fais-de-beaux-reves.jpg?w=181&h=300

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C’est livre gentil qui raconte une histoire gentille, mais qui ne m’a pas touchée. L’amour d’un grand-père pour son petit-fils est complètement convenu, un rêve comme le dit le titre. On ne peut s’accrocher à rien dans cette histoire, les lettres post-mortem ont déjà beaucoup servi dans la littérature. Un passage du livre qui, peut-être, vous a fait sourire m’a fait penser à un texte que j’ai mis sur mon blog il y a quelques mois. Je regrette, aujourd’hui, de ne pas avoir demandé à l’étudiante d’où venait son inspiration.

L’amour du personnage principal pour la libraire n’apporte pas grand-chose à l’intrigue. Bref je me répète, je n’ai pas aimé du tout. Et pourtant il avait été choisi comme coup de cœur par notre club ! Vraiment je ne sais pas pourquoi.

Citation

« Les mots, savez vous, servent parfois à se taire »

On en parle

link.