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Mais qu’est ce qui m’a pris ? Déjà l’an dernier « la palme d’or à Cannes » m’avait copieusement ennuyée, mais là …. c’est pire que tout ! Je vous renvoie à une véritable analyse à la fin de mon texte. Mais ça me fait trop de bien de me défouler : j’ai dé-tes- té. Et j’enrage d’autant plus que j’ai entrainé mes amis dans cette galère prétentieuse.

Entre mon ami qui s’endormait, moi qui rageait ou qui somnolait, j’ai essayé de m’intéresser aux images parce qu’on m’avait dit qu’elles étaient belles , puis je me suis réveillée (et je me suis mise à hurler, c’est génétique !, mon frère aussi, fait ça au cinéma, paraît-il !). Allez-y, si vous aimez les images à la Yann Arthus-Bertrand, ou des images sous microscope ultra-puissant. Vous aurez même le droit aux chutes d’eau filmées à l’envers. Ça me fait irrémédiablement penser aux « dix commandements ». À 6 ans, ça frappe l’imagination, à 60 un peu moins !

Et surtout ne faites pas comme moi, ne lisez pas le résumé avant d’y aller, on ne voit que des flashs à propos de la vie de la famille, un peu comme les images qui restent dans la mémoire, c’est quand même, ce qui est le plus réussi. En relisant des articles sur ce film, j’ai vu que le personnage principal était perturbé parce qu’il allait devenir père à son tour. Alors ça, j’ai complètement zappé !

Dès que vous croyez que le film va enfin commencer, hop ! Ça repart pour un tour dans les petites lumières, les mouvements de main, l’eau, le désert le sable, et même les dinosaures, oui, oui les dinosaures aussi ! Cinq minutes ça va bien, avec tous les moyens du cinéma américains, on sait qu’on peut tout faire, et les symboles sont tous plus gros les uns que les autres…

Bref, « il » va franchir la porte et se retrouver dans le monde des hommes… Un coquillage, pourquoi ? La musique est belle et, sans le film, agréable à écouter, de plus l’image du pied du bébé dans la main de son père m’a touchée.

Lisez vite cette critique tellement plus objective que la mienne : Toujours raison de Rob Gordon.

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